
1)
[nom] Action de révoquer ; annulation, en parlant d'une chose ou d'un acte ; renvoi ou destitution, en parlant d'une personne. 2) Retour à un état antérieur (par exemple dans l’historique d’un système de, ou dans une base de données).
Trouvé sur
https://fr.wiktionary.org/wiki/révocation

L'annulation d'une nomination suite à une enquête. La Commission de la fonction publique peut décider de révoquer une nomination si, à son avis, les résultats d'une enquête démontrent qu'il y a eu une erreur, une omission ou une conduite irrégulière ayant influé sur la nomination de la personne, qu'une nomination externe n'était pas fon...
Trouvé sur
https://www.canada.ca/fr/commission-fonction-publique/organisation/propos-n

RÉVOCATION, subst. fém. A. − [Corresp. à révoquer A] Action de révoquer quelqu'un. Synon. destitution, licenciement, renvoi. M. Pascal revint à Paris en mai 1648: le Parlement exigeait la révocation générale des intendants (Sainte-Beuve, Port-Royal, t. 2, 1842, p. 481). Sur un effectif de plus de 800 000 [fonctionnaires], les enquêtes n...
Trouvé sur
https://www.cnrtl.fr/definition/révocation

Fait de révoquer une personne, de la reclasser à un échelon inférieur.
Trouvé sur
https://www.linternaute.fr/dictionnaire/fr/definition/revocation/

Révocation ou annulation de l’Édit de Nantes (1598) par l’Édit de Fontainebleau (1685), qui prévoit que les pasteurs doivent se convertir ou quitter le royaume sous 15 jours. Les fidèles, tolérés en principe, seront le plus souvent persécutés jusqu’à leur abjuration. La Révocation suscite un vaste mouvement d’émigration. À l’...
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https://www.museeprotestant.org/glossary/revocation/
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