Copie de `Actu-Environnement`
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Actu-Environnement
Catégorie: Environnement
Date & Pays: 18/11/2021, FR Mots: 1606
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principe alaraALARA est l'acronyme anglophone de ''As Low As Reasonably Achievable'' que l'on peut traduire en Français par ''Aussi basse que raisonnablement possible''. Le principe ALARA est un des principes de base de la protection contre les rayonnements ionisants. L'objectif étant de réduire la dose individuelle et collective au sein des personnels des entreprises prestataires du nucléaire. ALARA implique pour chaque employeur un suivi de la dosimètrie de ses employés
prévalenceNombre de personnes souffrant d'une maladie, par rapport à une population déterminée, à un moment donné
produit chimiqueTerme communément employé pour définir une solution, un solide ou un gaz, contenant un ou plusieurs composés chimiques, organiques ou non.Dernière mise à jour : 16/02/2012
produit intérieur brut(PIB) Ensemble des valeurs ajoutées dégagées par les entreprises d'un pays. C'est une manière d'apprécier la richesse d'un pays et le niveau de vie de ses habitants
produit phytopharmaceutiqueCe terme désigne spécifiquement les utilisations végétales des pesticides (agricole et non agricoles, comme dans les jardins ou les espaces verts des communes). Il existe principalement trois catégories : les herbicides (contre les mauvaises herbes), les fongicides (pour lutter contre les champignons) et les insecticides (pour lutter contre les insectes). D'autres produits ont une action sur les rongeurs (rodonticides), sur les escargots et les limaces (molluscicides). D'après la définition donnée par l'article L.253-1 du code rural, ils comprennent aussi les produits contenant des OGM ayant pour fonction de détruire les espèces indésirables
production primaireDésigne en écologie la production de matière organique végétale (biomasse), issue de la photosynthèse, par des organismes autotrophes, dits producteurs primaires. Elle traduit la vitesse à laquelle se forme, par unité de temps, une quantité donnée de matière organique, à partir de la matière minérale et d'un apport d'énergie. Elle s'exprime en masse de carbone assimilé par unité de temps
producteur de déchetsToute personne dont l’activité produit des déchets (producteur initial de déchets) ou toute personne qui effectue des opérations de traitement des déchets conduisant à un changement de la nature ou de la composition de ces déchets (producteur subséquent de déchets).
Source : Ordonnance L541-1Dernière mise à jour : 05/09/2014
produit phytosanitairece terme désigne les produits phytopharmaceutiques et les adjuvants destinés à en améliorer les conditions d'utilisation
programme altenerLe programme Altener fait suite aux programmes Altener I et Altener II, qu'il remplace. Altener vise à promouvoir les énergies renouvelables au sein de l'Union européenne. Au sein du programme-cadre pluriannuel pour des actions dans le secteur de l'énergie, la décision 646/2000/CE du Parlement européen institue un programme pluriannuel de soutien aux sources d'énergies renouvelables ayant pour objectifs : * de créer les conditions juridiques, socio-économiques et administratives nécessaires à la mise en oeuvre d'un plan d'action communautaire pour les sources d'énergie renouvelables; * d'encourager les investisssements publics et privés dans la production et l'utilisation d'énergie à partir des sources renouvelables. Ce programme fait suite à Altener, programme ayant expiré le 31 décembre 1997, et à Altener II, programme ayant expiré le 31 décembre 1999. Altener s'inscrit dans le cadre des objectifs globaux de la Communauté en matière énergétique et environnementale à savoir : * limiter les émissions de CO2; * augmenter la part des sources d'énergie renouvelables dans le bilan énergétique afin d'atteindre l'objectif indicatif de 12% de la consommation d'énergie intérieure brute dans la Communauté en 2010; * réduire la dépendance des importations d'énergie; * assurer la sécurité des approvisionnements; * contribuer au développement économique local et régional ainsi qu'à la cohésion économique et sociale. Une enveloppe financière de 77 millions d'euros est prévue pour ce programme. La décision établit la liste des types d'actions pouvant bénéficier d'un soutien financier dans le cadre de ce programme. Sont retenus: * les études et les mesures destinées à mettre en oeuvr...
protactinium(Pa) Élément de numéro atomique Z = 91. Métal radioactif argenté présent naturellement dans les minerais d'uranium. Il est attaqué par l'oxygène, la vapeur et les acides, mais reste stable en milieu alcalin. Il est peu utilisé
prophylaxieEnsemble des mesures prises pour prévenir l'apparition ou la propagation d'une maladie
propane(C3H8) Gaz de pétrole liquéfié (GPL) distribué en bouteille ou en citerne
prométhium(Pm) Élément de numéro atomique Z = 61. Métal radioactif du groupe des lanthanides découvert par Marinsky, Glendenin, Coryell en 1945 à Oak Ridge (USA), utilisé dans les batteries miniatures
protisteOrganisme unicellulaire animal ou végétal
protocoleD'après le site France Diplomatie, dans la pratique internationale, les termes `accord`, `charte`, `convention`, `pacte`, `protocole` et `traité` sont employés de façon indifférente pour désigner un engagement international. Le terme protocole désigne souvent des accords moins formels que ceux visés par un traité ou une convention.
protéomeEnsemble des protéines d'un organisme vivant
précipitationApports d'eau parvenant au sol sous forme liquide (pluie ou rosée) ou solide (neige ou grêle) en provenance directe ou indirecte de la condensation de la vapeur d'eau atmosphérique. Les précipitations (pluie ou neige) sont mesurées à la surface de la terre en millimètres. Le terme lame d'eau tombée est également employé pour quantifier les précipitations
protocole de göteborgLe 1er décembre 1999, la Commission économique pour l'Europe des Nations Unies (CEE-NU) a obtenu de 26 pays européens, dont la France, qu'ils s'engagent à respecter, dans le cadre du protocole de Göteborg, des plafonds d'émissions afin de réduire les impacts de la pollution atmosphérique sur la santé et l'environnement : les émissions de dioxyde de soufre (SO2), d'oxydes d'azote (NOx) et d'ammoniac (NH3), responsables de l'acidification et de l'eutrophisation, et les émissions de composés organiques volatiles (COV), qui, avec les NOx, donnent naissance à l'ozone. Peu touchée par l'acidification, la France exportait, en 1997, 70% de ses émissions de SO2 et 63% de ses émissions de NOx à travers l'Europe. On lui demande donc de réduire encore plus ses émissions afin de contribuer à l'objectif communautaire qui permettrait de réduire de 15% les 17 millions d'hectares affectés sur le continent européen. En matière d'eutrophisation, et toujours selon les estimations qui ont permis de préparer le protocole de Göteborg, les niveaux d'azote acceptables seront dépassés sur l'ensemble du continent européen d'ici 2010. En l'absence de mesures, 25 millions d'hectares seraient concernés en France, soit 92% des écosystèmes et 52% des surfaces européennes eutrophisées. L'accord signé à Göteborg n'engendrera qu'une faible amélioration. La France est, après l'Allemagne, le pays où la population serait la plus exposée à la pollution par l'ozone en 2010. Les deux pays concentrent la moitié des dépassements de toute l'Union Européenne. Le protocole vise à limiter l'indicateur d'exposition de 15% en France comme en Europe. En 2000, pour l'Europe, la lutte contre la pollution atmosphérique transf...
protocole de kyotoEn décembre 1997, à l'issue de la troisième réunion des pays signataires de la convention de Rio, 38 pays industrialisés se sont engagés à réduire les émissions de six gaz à effet de serre en signant le Protocole de Kyoto : CO2, CH4, N2O, HFC, PFC, SF6. Ces pays industrialisés se sont engagés sur une réduction de leurs émissions de 5,2% en moyenne entre 2008 et 2012 par rapport au niveau de 1990. Les pays en développement sont exemptés d’engagements chiffrés afin que leur développement ne soit pas remis en cause. Pour entrer en vigueur, ce protocole a dû être ratifié par plus de 55 pays totalisant plus de 55% des émissions de gaz à effet de serre. L’Union Européenne et de nombreux autres pays ont ratifié le protocole en 2002. La France s’est engagée à ne pas émettre en 2010 plus de gaz à effet de serre qu’elle n’en émettait en 1990, soit 563,9 millions de tonnes équivalent CO2. La Russie a ratifié l'accord fin 2004 ce qui a déclencher l'entrée en vigueur du protocole. En 2007, l'Australie l'a ratifié. Les Etats– Unis en revanche se sont retirés du protocole depuis 2001. Pour respecter le protocole de Kyoto, l’Union Européenne a mis en place un programme d’actions et un système d’échange des droits d’émission des gaz à effet de serre. Dernière mise à jour : 16/02/2012
prasiniteRoche métamorphique qui dérive du gabbro, à débit schisteux
prolifération d'alguesDéveloppement rapide d'algues à la surface des lacs, cours d'eau ou étangs provoqué par un apport important en éléments nutritifs
protoxyde d'azote(N2O) Le Protoxyde d'azote (également appelé Oxyde nitreux) de formule chimique N2O est un puissant gaz à effet de serre qui subsiste longtemps dans l'atmosphère (environ 120 ans.) Il est en partie responsable de la destruction de l'ozone. Le sol et les océans sont les principales sources naturelles de ce gaz, mais il est également produit par l'utilisation d'engrais azotés, la combustion de matière organique et de combustibles fossiles, la production de nylon... En France, l'agriculture contribuerait aux 3/4 des émissions de N2O provenant essentiellement de la transformation des produits azotés (engrais, fumier, lisier, résidus de récolte) dans les sols agricoles. Le N2O est un gaz incolore et ininflammable, stable dans les basses couches de l'atmosphère mais décomposé dans les couches plus élevées (stratosphère) par des réactions chimiques impliquant la lumière du soleil
prtr européenLe PRTR européen est établi par le règlement (CE) n° 166/2006, qui est entré en vigueur en février 2006. Il met en uvre le protocole PRTR de la Commission économique des Nations unies pour l'Europe (CEE-ONU), que l'UE a signé en mai 2003. Tout comme l'EPER, il sera géré conjointement par la Commission européenne et l'Agence européenne pour l'environnement
prédateurOrganisme se nourrissant d'individus d'une autre espèce, en général plus petite
protogineRoche grenue porphyroïde, à structure schisteuse, à cristaux de quartz, feldspath et mica noir. noir à verdâtre découlant de la transformation de la biotite en chlorite.Dernière mise à jour : 23/11/2012
protocole de montréalLe Protocole de Montréal est un accord international visant à réduire de moitié des substances qui appauvrissent la couche d'ozone. Il a été signé par 24 pays et par la Communauté économique européenne en septembre 1987. Il impose la suppression de l'utilisation de CFC (chlorofluorocarbones), de halons et de tout autre ODC synthétique. Le calendrier d'élimination progressive et initialement prévu pour les pays développés est le suivant (sous réserve utilisations essentielles autorisées) : * halons : élimination complète d'ici le 1er janvier 1994; * chlorofluorocarbones (CFC), HBFC, méthyle chloroforme, tétrachlorure de carbone : élimination complète d'ici le 1er janvier 1996; * hydrochlorofluorocarbones (HCFC) : Gel de la consommation d'ici le 1er janvier 1996; gel de la production d'ici 2004; élimination complète d'ici le 1er janvier 2030; * bromure de méthyle : gel d'ici le 1er janvier 1995; élimination complète d'ici le 1er janvier 2005 et rapport sur la consommation annuelle; * interdiction de la production et de la consommation de bromochlorométhane à compter du 1er janvier 2002. (Les pays en développement ont, en moyenne, un délai de grâce de 10 à 15 ans pour se conformer à ces objectifs.) Les Parties ont l'obligation d'interdire l'importation et l'exportation des substances réglementées et des produits utilisant ces substances, en provenance et à destination d'États non Parties au Protocole; * Les Parties doivent mettre en uvre un système de permis pour l'importation et l'exportation de substances réglementés neuves, usagées, recyclées ou récupérées, en provenance et à destination d'États non Parties au Protocole; * Les Parties doivent mettre en uvre des mesure...
ppmNombre de molécules du gaz à effet de serre considéré par million de molécules d’air. Unité : 1 partie pour million (10
-6). Par exemple, 1 ppm = 1 mg par kg ou 1 gramme par tonne ou 1 ml par m
3.Dernière mise à jour : 05/06/2019
poubelle eugèneNom du Préfet de la Seine qui inventa la poubelle en 1884. Pour améliorer l'hygiène urbaine, il imposa aux habitants de Paris l'usage de contenants pour la collecte des ordures ménagères
pont thermiqueLe terme `pont thermique` désigne des points de la construction où la barrière isolante est rompue pour des raisons de mise en oeuvre défectueuse ou de manque de rigueur dans la conception de l’ouvrage. La chaleur peut donc s'échapper facilement à ces endroits. Les ponts thermiques se situent généralement aux points de raccord des différentes parties de la construction : nez de planchers, linteaux au-dessus des ouvertures, nez de refends ou de cloisons en cas d’isolation par l’intérieur en réhabilitation… En France, on estime que les ponts thermiques représentent plus de 40% des déperditions. Ils entraînent sur la surface intérieure de la paroi une chute locale de température et créent des zones froides localisées dans la maison. Ces zones sont également source d'inconfort pour les occupants car le corps humain aura une impression de froid si les murs sont froids, et ce même si l'air de la pièce est bien chaud. Ces pont thermiques peuvent être réduit par une isolation forte par l'interieur, l'exterieur, isolation des fondations, etc.Dernière mise à jour : 16/02/2012
poïkilothermeQualifie les êtres vivants dont la température interne varie avec celle du milieu dans lequel ils vivent. Dernière mise à jour : 15/09/2015
polluantDésigne un agent physique, chimique ou biologique qui provoque une gêne ou une nuisance dans le milieu liquide ou gazeux. Au sens large, le terme désigne des agents qui sont à l'origine d'une altération des qualités du milieu, même s'ils y sont présents à des niveaux inférieurs au seuil de nocivité. Pour les polluants qui ont un effet nocif sur les organismes vivants, on réserve le terme de contaminants. Des conventions internationales réglementent le rejet des polluants selon leur toxicité. Un polluant est dit altéragène. On peut désigner sous le terme de polluant toute substance artificielle produite par l'homme et dispersée dans l'environnement, mais aussi toute modification d'origine anthropogène affectant le taux ou (et) les critères de répartition dans la biosphère d'une substance naturelle propre à tel ou tel milieu
pollutionIntroduction directe ou indirecte, par suite de l'activité humaine, de substances ou de chaleur dans l'air, l'eau ou le sol, susceptibles de porter atteinte à la santé humaine ou à la qualité des écosystèmes aquatiques ou des écosystèmes terrestres, qui entraînent des détériorations aux biens matériels, une détérioration ou une entrave à l'agrément de l'environnement ou à d'autres utilisations légitimes de ce dernier : Directive Européenne 2000/60/CE du 23 octobre 2000
pollution atmosphériqueSelon la Loi sur l'air et l'utilisation rationnelle de l'énergie de 1996, la pollution atmosphérique est définie comme : ''l'introduction par l'homme, directement ou indirectement, dans l'atmosphère et les espaces clos, de substances ayant des conséquences préjudiciables de nature à mettre en danger la santé humaine, à nuire aux ressources biologiques et aux écosystèmes, à influer sur les changements climatiques, à détériorer les biens matériels, à provoquer des nuisances olfactives''. Le Conseil de l'Europe dans sa déclaration de mars 1968 propose cette définition : ''il y a pollution atmosphérique lorsque la présence d'une substance étrangère ou une variation importante dans la proportion de ses composants est susceptible de provoquer un effet nocif, compte tenu des connaissances scientifiques du moment, ou de créer ou une nuisance ou une gêne.'' Valeurs limites des polluants dans l'air recommandées par l'OMS : - Dioxyde de soufre (S02) : moyenne annuelle < 50 µm/m3 ; moyenne journalière < 125 µm/m3 ; moyenne 10 minutes < 500 µm/m3. - Dioxyde d'azote (NO2) : moyenne annuelle < 40 µm/m3 ; moyenne horaire < 200 µm/m3. - Ozone (O3) : moyenne 8 heures < 120 µm/m3. - Poussière en Suspension (PS) : moyenne journalière < 70 µm/m3. - Monoxyde de carbone (CO) : moyenne 8 heures < 10.000 µm/m3 ; moyenne horaire < 30.000 µm/m3 ; moyenne demi-horaire < 60.000 µm/m3 ; moyenne quart-horaire < 100.00 µm/m3. - Fumées noires (FS) : moyenne année civile < 50 µm/m3 ; moyenne journalière < 125 µm/m3. - Plomb(Pb) : moyenne année civile < 0,5 µm/m3. D'après l'AFSSE, en 2002 en France, 6.500 à 9.500 décès peuvent être directement imputable à la pollution atmosphérique, et notammen...
polychloroterphényle(PCT) Les PCB et PCT sont des produits chimiques organiques chlorés utilisés pour leur grande stabilité thermique et leurs caractéristiques électriques. Ils sont notamment utilisés comme : isolants électriques pour les transformateurs et les condensateurs (pyralène), fluides caloporteurs pour le transfert de calories dans des installations industrielles diverses. Après leur apparition dans les années 50, ces produits se sont avérés rapidement nocifs pour l'environnement et pour l'homme. Ils sont insolubles dans l’eau mais solubles dans la plupart des solvants organiques et dans les huiles végétales, stables et pratiquement pas biodégradables (classés dangereux pour l’environnement), cumulables dans la chaîne alimentaire (concentration dans les tissus vivants), dégradables à haute température en conduisant à la formation de furanes et de dioxines (toxiques et cancérogènes). Quelques références réglementaires : - Arrêté du 10/02/03 : Nomination à la commission consultative pour l'élaboration du plan national de décontamination et d'élimination des appareils contenant des PCB PCT. - Arrêté du 26/02/03 : Approbation du plan national de décontamination et d'élimination des PCB PCT.Dernière mise à jour : 30/04/2014
polonium(Po) Élément de numéro atomique Z = 84. Découvert par Curie (Marie) en 1898 à Paris (France). C'est un métal gris argenté radioactif, soluble dans les acides dilués, utilisé comme source de chauffage dans les équipements spatiaux et comme source de rayonnement alpha dans la recherche
pompe a chaleur(PAC) Désigne un dispositif thermodynamique qui consiste à extraire de la chaleur à une source froide pour la céder à une source chaude par évaporation compression et condensation d'un fluide approprié. Le cycle est le même que celui d'un réfrigérateur inversé dans son fonctionnement. Ces installations permettent de réduire les émissions en gaz à effet de serre. 1 kWh de chaleur produit par une pompe à chaleur génère environ 6 fois moins de CO2 que 1 kWh de chaleur produit par une chaudière. Elle permet également de diminuer les rejets en autres polluants tels que les Nox, le SO2, ... . En plein essor dans de nombreux pays, les PAC sont considéré par plusieurs d'entre eux comme des énergies renouvelables. En France, les PAC de type géothermique ou air/eau dont la puissance thermodynamique est égal ou supérieur à 5kW et ayant un COefficient de Performance - COP - supérieur ou égal à 3 en 2006 bénéficient du crédit d'impôt de 50% aux conditions suivantes : - Dans un logement acheté neuf, la PAC doit avoir été intégrée par le vendeur ou le constructeur ; - Dans un logement en construction ou ancien, elle doit être fournie par l'entreprise chargée de l'installation. Les PAC de type air/air bénéficient du crédit d'impôt de 50% aux conditions supplémentaires suivantes : - L'installation est centralisée sur une seule unité extérieure ; - Le fonctionnement est garanti par le fabricant jusque -15°C extérieur ; - La puissance calorifique thermodynamique doit être égal ou supérieure à 5kW par +7°C extérieur ; - L'installation doit avoir été contrôlée par un organisme accrédité par le COFRAC selon la norme NF/EN ISO/CEI 1702...
polypropylène(PP) Résine thermoplastique obtenue par polymérisation du propylène offrant une bonne résistance aux acides et aux alcalins. Elle est utilisée principalement dans les emballages alimentaires, les pièces techniques pour l'automobile, la vaisselle pour four micro-ondes, les tapis, la moquettes, les cordes et la ficelle. Ce polymère étant un thermoplastique, il peut être recyclé
polluant secondairePolluant résultant de réaction(s) chimique(s) ou
polysaccharideMacromolécule glucidique formée par enchaînement d'un grand nombre de sucres élémentaires. La cellulose par exemple est un des polysaccharides constitutifs de la paroi des cellules végétales
poussièreEnsemble de particules de matière solide en suspension dans l'air inférieures à 75 µm, les plus grosses retombant prés de leurs sources d'émission (Exemples : incinérateur, sidérurgie, ...). Elles sont produites par des opérations mécaniques comme le broyage, le concassage ou une explosion. La plupart des poussières représentent un danger d'inhalation ou d'incendie
poléophileSe dit d'une espèce qui profite de la pollution pour se développer. Phénomène inverse : Poléophobe
poudretteParticules de caoutchouc déferrées et défibrées issues de l'opération de broyage et de granulation des pneumatiques. Leur taille varie entre 10 microns et 1 mm. La poudrette est utilisés dans la fabrication de revêtements de sols industriels et sportifs, d'écrans anti-bruit, .
polderUn polder désigne une étendue artificielle de terre conquise sur la mer grâce à des digues, des barrages et dont le niveau est inférieur à celui de la mer. Les polders sont réalisés par drainage provoquant l'assèchement de marais, de lacs, ou de zones littorales. Les Pays-Bas sont souvent associés aux polders, puisqu'une grande partie de leur surface a été gagnée sur la mer au cours des siècles. Dernière mise à jour : 13/10/2015
popsSe reporter à Polluants Organiques Persistants
poquetTrou dans lequel sont semées plusieurs graines lors du semis
potassium(K) Symbole K Élément de numéro atomique Z = 19. Élément naturel de l'eau, de concentration très inférieure à celle du sodium. C'est un métal blanc, mou, argenté lorsqu'on le découpe. Il réagit rapidement avec l'oxygène et violemment avec l'eau. Il fut découvert par Humphry Davy en 1807, par électrolyse de la potasse. C'est un traceur de la pollution organique (effluents d'industries agro-alimentaires, d'élevage) et minérale (engrais). Il est aussi utilisé dans les engrais, les produits chimiques et les verres
polyphageType d'espèce qui s'alimente à partir de différentes espèces
poudingueRoche compacte formée de galets cimentés naturellement entre eux, provenant souvent d'alluvions de deltas fossiles ou d'une réavancée de la mer sur les terres au cours des temps géologiques
poubelleContenant destiné à recevoir des Ordures Ménagères et des déchets industriels banals. On peut citer les conteneurs, sacs plastiques, bacs roulants
polycultureSystème de production agricole basé sur la production de différentes espèces végétales au sein d'une même exploitation
poléophobeSe dit d'une espèce qui ne supporte pas la pollution. Phénomène inverse : Poléophile
pollenEléments reproducteurs produits par les organes mâles des plantes. Ils peuvent être transportés par les insectes, les animaux ou le vent jusqu'aux organes femelles. Tout comme les polluants chimiques, ils peuvent avoir des conséquences néfastes sur la santé. De petite taille (20 à 60 µm) ils contaminent l'appareil respiratoire et sont responsables d'allergies chez environ 20% de la population. Le nombre d'allergie a doublé en 10 ans, ce phénomène semble lié à la fragilisation des individus par la pollution atmosphérique. A titre d'exemple, l'O3 et les NO2 augmentent l'hyper réactivité bronchique spécifique aux allergènes
pneumoconioseAffection des voies respiratoires et des poumons provoquée par l'inhalation et la rétention de particules minérales ou métalliques
pneusolPneusol est une marque déposée par le Laboratoire Central des Ponts et Chaussées de Paris. Le procédé Pneusol est une association de pneus entiers et de sols, utilisée pour la construction de murs de soutènement
platine(Pt) Élément de numéro atomique Z = 78. Connu avant 1700. Métal blanc argenté, brillant, malléable et ductile qui ne réagit pas en présence d'oxygène ou d'eau, se dissout uniquement dans l'eau régale et les composés alcalins fondus. Il est utilisé en joaillerie, dans les médicaments et comme catalyseur
plan caniculeLe niveau minimal du plan canicule est mis en place chaque année entre le 1er juin et le 31 août. Le Plan canicule comprend trois niveaux d'alerte progressifs, déclenchés à partir de l'évaluation du risque sanitaire et météorologique réalisée chaque jour par l'Institut de veille sanitaire (INVS), en concertation avec Météo France : - veille saisonnière sur la période du 1er juin au 31 août 2006 : vérification des dispositifs opérationnels et veille quotidienne de l'activité sanitaire ; - mise en garde et action, en cas de risque de canicule en cours ou prévu jusqu'à 3 jours en avance : mise en uvre des actions adaptées, en particulier l'activation des plans bleus pour les maisons de retraites et des plans blancs pour les établissements de santé ; - mobilisation maximale, déclarée par le Premier ministre, mise en place dès que la canicule provoque un impact sanitaire important, étendue sur une grande partie du territoire et compliquée d'effets collatéraux (délestages ou pannes électriques, sécheresse,...). Dans les départements où le plan canicule a été déclenché, le préfet adapte ses actions en fonction des réalités locales. Il active une cellule de crise qui centralise les informations et vérifie l'adéquation des mesures engagées. Il mobilise les établissements de santé et les maisons de retraites qui déclencheront en cas de besoin les plans blancs et plans bleus de gestion de crise. Le préfet diffuse des messages de prévention d'alerte et de recommandations dans la presse, à la radio et à la télévision. Des messages spécifiques sont prévus pour les professionnels de santé assurant la prise en charge de personnes fragiles ou dépendantes. La cellule de crise du p...
plomb(Pb) Le plomb est un élément chimique, de symbole Pb et de numéro atomique 82. ll peut être présent sous forme de carbonates (cérusites), de phosphates (pyrophosphites), mais surtout de sulfure (galène). Ce dernier sel, très peu soluble, peut cependant se transformer en hydroxyde ou en carbonate, après avoir été oxydé en sulfate. Les activités humaines (emploi de plomb tétraéthyl dans les carburants comme antidétonant, utilisation de combustibles fossiles) entraînant la formation d'aérosols plombifères constituent, actuellement, la principale source de plomb dans l'hydrosphère. Les 2 principales voies d'intoxication sont l'inhalation et l'ingestion
plan local d'urbanisme(PLU) Document destiné à définir plus simplement la destination générale des sols que ne le fait le plan d'occupation des sols (POS). Depuis le vote de la loi SRU (Solidarité Renouvellement Urbain) par le Parlement le 13 décembre 2000, le PLU remplace le POS. Il définit les règles indiquant quelles formes doivent prendre les constructions, quelles zones doivent rester naturelles, quelles zones sont réservées pour les constructions futures, etc. Il doit notamment exposer clairement le projet global d’urbanisme ou PADD qui résume les intentions générales de la collectivité quant à l’évolution de l’agglomération. Il comprend plusieurs documents : - Rapport de présentation - Projet d’aménagement et de développement durable - Règlement avec une partie graphique (communément appelée zonage, avec 4 grands types de zonages) et une partie écrite qui décrit les règles pour chacune des zones - Orientations d’aménagement et de programmation Le zonage comprend 4 types de zones : - U pour les zones urbanisées - AU pour les zones à urbaniser - N pour les zones naturelles - A pour les zones agricoles Le Plan Local d’Urbanisme intercommunal (PLUi) contient les mêmes éléments que le PLU, il est élaboré à une échelle supracommunale. A noter que le PLU (ou le PLUi) doit être compatible avec le SCoT (Schéma de Cohérence Territoriale).Dernière mise à jour : 05/06/2019
pleustonOrganisme dont une partie du corps dépasse de la surface de l'eau. Exemples : velelles, porpites, ..
plan climat-énergie territorial(PCET) Un Plan Climat-Énergie Territorial (PCET) est
pluies efficacesLes pluies efficaces sont exprimées en mm. Elles sont égales à la différence entre les précipitations totales et l'évapotranspiration. Les précipitations efficaces peuvent être calculées directement à partir des paramètres climatiques et de la réserve utile du sol. L'eau des précipitations efficaces est répartie, au niveau du sol, en deux fractions : l'écoulement superficiel et l'infiltration
plèvreMembrane enveloppant le poumon
plan climat-air-énergie territorial(PCAET) Le Plan Climat Air-Énergie Territorial (PCAET), comme son prédécesseur le PCET, est un outil de planification qui a pour but d'atténuer le changement climatique, de développer les énergies renouvelables et maîtriser la consommation d'énergie. Outre le fait, qu’il impose également de traiter le volet spécifique de la qualité de l’air (Rajout du « A » dans le signe), sa particularité est sa généralisation obligatoire à l’ensemble des intercommunalités de plus de 20.000 habitants à l’horizon du 1
er janvier 2019, et dès 2017 pour les intercommunalités de plus de 50.000 habitants.
piscivoreOrganisme qui se nourrit de poisson
pile à combustibleLe principe de la pile à combustible est de produire de l'électricité par oxydation d'hydrogène et réduction simultanée d'oxygène avec pour seuls sous-produits de l'eau et de la chaleur. L'oxygène est généralement puisé dans l'air alors que l'hydrogène peut être fourni par plusieurs types de sources. Les deux plus fréquentes sont le gaz hydrogène ou le méthanol. Les atouts : - L'hydrogène peut être produit par une multitude de sources dont les déchets sont non polluants (hydrolyse de l'eau, reformage de combustibles fossiles, thermolyse de l'eau
). - Parce que ces sources de production sont variées, elles permettent d'envisager une stabilité plus importante des prix. - Vecteur énergétique facilement stockable, contrairement à l'électricité. Les difficultés : - Coût très élevé - Manipulation délicate et utilisation difficile à grande échelle
pileLes piles et accumulateurs sont des sources d'énergie électrique obtenue par transformation directe d'énergie chimique. Une pile est utilisable une fois, un accumulateur plusieurs fois car rechargeable. Une batterie est un assemblage de piles ou d'accumulateurs. Une pile est constituée de deux électrodes, l’anode et la cathode qui baignent dans l’électrolyte. L’anode est constituée de matériaux choisis pour leur aptitude à libérer des électrons. En générale ce sont des métaux (plomb, fer, zinc, cadmium, calcium, aluminium, magnésium, lithium) ou de l’hydrogène. La cathode est constituée de matériaux capables de fixer des électrons. On utilise du soufre, des halogènes ou des oxydes métalliques. Il existe deux grandes familles de piles, saline, et alcaline : dans une pile saline, l'électrolyte est un composé salin (chlorure d'ammonium, de zinc, ...) tandis que dans une pile alcaline, l'électrolyte est une solution basique contenant un métal alcalin (lithium, sodium, potassium, ...). L’électrolyte se compose le plus souvent d’un sel dissout dans un solvant stable vis-à-vis des électrodes. Les électrodes sont choisies pour leurs propriétés permettant de solubiliser et ioniser ce sel. La majorité des piles mises sur le marché sont les piles alcalines (ou salines), et ne contiennent plus de mercure depuis 1994. Les seules piles contenant du mercure sont les piles boutons qui sont progressivement remplacées par d’autres produits de substitution ne conte...
phtalate(C10H8) Sel de l'acide phtalique, dérivé du naphtalène, hydrocarbure aromatique, utilisé dans les matières plastiques et notamment le polychlorure de vinyle (PVC). Substance susceptible de perturber le le système endocrinien humain. Certains produits chimiques interagissent en effet avec les hormones et perturbent par conséquent certaines fonctions du corps : croissance, développement, comportements, reproduction, production, utilisation et stockage de l'énergie. Dénommées « perturbateurs endocriniens », ces molécules de synthèse peuvent imiter, gêner voire entraver l'action d'une hormone naturelle. L'Europe a établi en 2007 une liste de 320 substances susceptibles de perturber le système endocrinien humain. Cette liste comprend plusieurs familles de substances chimiques dont les phtalates, les phyto-oestrogènes, la dioxine, certains pesticides et métaux lourds, des composés bromés, etc. Aujourd'hui ces produits sont utilisés dans les cosmétiques, pour la fabrication des plastiques souples ou en grande quantité en agriculture
phlébotomeInsectes hématophages, de type mouche piqueuse, pouvant être vecteurs de pathogènes de la santé humaine : bartonellose, arbovirose, leishmaniose
phénolsEn chimie organique, les phénols sont des composés chimiques aromatiques portant une fonction hydroxyle -OH. Ce sont des alcools aromatiques qui proviennent des végétaux.Dernière mise à jour : 06/03/2012
photochimieEnsemble des réactions produites sous l'effet d'une énergie rayonnante comme les rayons solaires. Les polluants qui en découlent (ozone) sont appelés polluants photochimiques
phénologieDésigne la science des influences climatiques sur le développement saisonnier des plantes (floraison, feuillaison ou débourrement, coloration des feuilles, fructification) et des animaux (hibernation, migration, nidification). La phénologie est un marqueur du climat mais aussi un élément clé de l'adaptation des êtres vivants aux variations climatiques
phlogopiteMica très clair, riche en magnésium, présent dans les calcaires métamorphiques
phosphateComposés chimiques phosphorés utilisé dans la fabrication des engrais. Font partie des apports à l'origine de l'eutrophisation des milieux aquatiques
phpH est un sigle signifiant potentiel hydrogène et qui représente la mesure de l'alcalinité en chimie. Le pH mesure la concentration d'une solution aqueuse en ions oxonium H3O+ et le degré d'acidité ou de basicité d'une solution. Le pH se calcule selon la formule pH = -log[H3O+] où [H3O+] est la concentration molaire en ions oxonium H3O+ exprimée en moles par litre. En solution aqueuse à température de 25°C et à pression standard, un pH de 7 indique la neutralité. Un pH moins élevé (par exemple pH 3) indique une augmentation de l'acidité, et un pH plus elevé (par exemple pH 11) indique une augmentation de l'alcalinité, c'est-à-dire de la basicité. Dans le cas de l'eau le pH varie de 1 à 14 mais pour d'autres solutions le pH n'est pas limité à cette échelle. Par exemple, le pH de neutralité de l'acétonitrile est de 27. Lorsque le pH d'une solution est peu sensible aux acides et aux bases, on dit qu'il s'agit d'une solution tampon ; c'est le cas du sang, du lait ou de l'eau de mer, qui renferment des couples acido-basiques susceptibles d'amortir les fluctuations du pH jusqu'à un certain point. Le pH d'une solution dite physiologique est de 7,4.Dernière mise à jour : 29/12/2014
photodissociationDissociation d'une molécule à partir de l'énergie d'un photon
photonParticule élémentaire de la lumière
photolyseDécomposition d'une substance sous l'action de la lumière
photoélectrolyseType d'électrolyse utilisant la lumière pour séparer les constituants d'une molécule
photo-inhibitionInhibition de la photosynthèse due à de trop fortes intensités lumineuses
photo-oxyderAction d'oxydation d'une molécule à partir d'un rayonnement lumineux, utilisé pour la décontamination des eaux
photosynthèseProcessus par lequel les plantes et certaines bactéries utilisent l'énergie solaire pour effectuer la synthèse de molécules organiques à partir de gaz carbonique et d'eau
phytoremédiationvoir Phytorestauration
phytorestaurationLa phytorestauration (ou phytoremédiation) est l'ensemble des technologies qui utilisent les plantes comme principal agent de traitement des pollutions. La phytoremédiation sert notamment dans la dépollution des sols, l'épuration des eaux usées ou l'assainissement de l'air intérieur
phtaniteRoche sédimentaire siliceuse formée par d'anciennes vases siliceuses consolidées
phycotoxineSubstance toxique sécrétée par certaines espèces de phytoplancton
phytoextractionDésigne l'utilisation de plantes pour l'extraction de polluants (tels que les métaux) de l'environnement (en particulier du sol). Quand les plantes sont saturées en polluants, elles sont récoltées
phytoplanctonAlgues microscopiques présentes dans les eaux, se multipliant par division cellulaire sous l'effet de la photosynthèse. Pratiquement, toutes ont la capacité de réaliser la photosynthèse, c'est-à-dire fabriquer la matière organique nécessaire à leur développement
phototropheOrganisme qui utilise la lumière comme source d'énergie pour ses synthèses
phytostabilisationTechnique de traitement des sols pollués par utilisation de plantes pour réduire la biodisponibilité, la mobilité ou le lessivage des polluants
phytotoxicitéPropriété d'une substance qui est toxique pour les plantes. Les produits issus de l'industrie chimique sont phytotoxiques mais il existe aussi des substances toxiques d'origine végétale
phytosociologieDiscipline botanique qui étudie les communautés végétales. C'est une des branches de l'étude de la végétation qui s'appuie également sur des approches physionomiques, climatiques, écomorphologiques, agricoles, sylvicoles, etc
pelagosEnsemble des organismes aquatiques (marins ou dulcicoles) vivant en pleine mer en opposition au benthos qui vit à proximité du fond. Le pélagos est composé du necton qui peut se déplacer à contre-courant et du plancton qui suit le courant et peut se déplacer verticalement dans la colonne d'eau
pelliplacageEmballage, réalisé généralement dans une matière plastique transparente ou translucide, qui adhère étroitement ou produit, le plus souvent par vide d'air
pendageEn géologie et cartographie, le pendage est l'orientation d'un plan dans l'espace et par rapport à l'horizontal. On indique généralement son orientation (ex : pendage vers l'est ou pendage vers le 270) et sa raideur (45°)
phytovolatilisationForme de phytoremédiation. Dans la technique de phytovolatilisation, les plantes absorbent l'eau de la lithosphère contenant des contaminants organiques et autres produits toxiques, les transforment en éléments volatiles et les relâchent dans l'atmosphère via leurs feuilles. De cette manière, les polluants sont dégradés en composants moins ou non toxiques avant d'être libérés. Cependant, pour certaines substances, bien que la phytovolatilisation permet de décontaminer les sols, elle libère des substances toxiques dans l'atmosphère
peroxyde d'hydrogène(H2O2) Oxydant polyvalent efficace et sûr pour son utilisateur, largement utilisé dans le domaine du traitement de l'eau. Par leurs propriétés oxydantes, les solutions aqueuses du peroxyde d'hydrogène, appelé couramment eau oxygénée, sont utilisées pour le blanchiment du papier et du textile ainsi que dans le traitement des effluents, dans le secteur pharmaceutique et comme produit intermédiaire dans l'industrie chimique. Le peroxyde d'hydrogène se décompose en eau et oxygène en milieu alcalin et en présence de dérivés de métaux
personne physiqueTerme juridique représentant tout individu auquel la loi attache des droits et des obligations. S'oppose à personne morale
peptideMolécule constituée d'acides aminés
perchloréthylène(PER) Molécule dérivée de l'éthylène, où tous les atomes d'hydrogène ont été remplacés par des atomes de chlore, le perchloroéthylène (encore appelé tétrachloroéthylène) est un solvant utilisé en particulier pour le nettoyage à sec des vêtements et pour le dégraissage des métaux. composé organique volatile, il figure sur la liste des produits cancérogènes du groupe 2A du CIRC et peut causer des troubles neurologiques, rénaux et hépatiques
pectineSubstance organique exclusivement d'origine végétale présente en grande quantité dans les pépins et les zestes de groseilles, pomme, coing et agrumes